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Protéger les arbres fruitiers de la surcharge de fruits : Pour des récoltes de qualité et un arbre en bonne santé

Imaginez un verger où chaque fruit est gros, juteux et plein de saveur. C'est un rêve accessible, à condition de savoir gérer l'abondance ! Car si un arbre fruitier couvert de fleurs, puis de jeunes fruits, est une vision réjouissante, une production excessive – appelée 'surcharge' ou 'surproduction' – peut en réalité nuire à la qualité des fruits et à la santé de l'arbre. Apprendre à maîtriser cette générosité de la nature est essentiel pour garantir des récoltes régulières, des fruits de meilleure taille et saveur, et préserver la vitalité de votre verger.

• Qu'est-ce que la surcharge de fruits et pourquoi est-ce un problème ?

La surcharge se produit lorsqu'un arbre fruitier produit un nombre de fruits bien supérieur à sa capacité à les nourrir et à les faire mûrir correctement. Cela peut sembler être une bonne chose au premier abord, mais les conséquences sont multiples :

1. Fruits de petite taille et de faible qualité : L'arbre doit répartir ses ressources (eau, nutriments, sucres) entre un trop grand nombre de fruits. Résultat : les fruits restent petits, manquent de saveur, de couleur et de sucre.

2. Épuisement de l'arbre : Produire des fruits est très énergivore. Une surcharge épuise l'arbre, le rendant plus vulnérable aux maladies, aux ravageurs et au stress environnemental (sécheresse, froid).

3. Alternance de production (phénomène de l'alternance) : C'est l'une des conséquences les plus frustrantes. Un arbre surchargé une année n'aura pas les ressources pour former suffisamment de bourgeons floraux pour l'année suivante. Il produira alors très peu, voire pas du tout, de fruits l'année d'après. Ce cycle d'une année "pleine" suivie d'une année "creuse" est difficile à briser.

4. Casse de branches : Le poids excessif des fruits peut provoquer la rupture de branches, causant des blessures importantes à l'arbre et ouvrant la porte aux maladies.

• Les solutions pour éviter la surcharge : L'éclaircissage manuel

La méthode la plus efficace et la plus courante pour gérer la surcharge est l'éclaircissage manuel des fruits. Il s'agit de retirer délibérément une partie des jeunes fruits. Ce geste simple permet aux fruits restants de se développer pleinement, d'atteindre une taille optimale et de concentrer toutes leurs saveurs, tout en préservant la vigueur de l'arbre.

• Quand éclaircir ?

L'éclaircissage doit être effectué après la "chute de juin" (ou "chute physiologique"), une période naturelle où l'arbre se débarrasse lui-même d'une partie des fruits qui n'ont pas été correctement pollinisés ou qui sont trop faibles. Cette chute a lieu généralement 3 à 4 semaines après la floraison, fin mai ou début juin selon les régions et les espèces.

Le moment idéal pour intervenir est lorsque les jeunes fruits ont la taille d'une petite noisette ou d'une bille. Il est crucial d'attendre la 'chute de juin' naturelle de l'arbre, car agir trop tôt risquerait de retirer des fruits que l'arbre aurait de toute façon conservés. À l'inverse, intervenir trop tard réduirait considérablement les bénéfices pour l'arbre et la qualité finale des fruits.

• Comment éclaircir ?

La technique varie légèrement selon les espèces :

1. Pommiers et Poiriers :

   • Les fruits poussent souvent en grappes (bouquets).

   • Gardez 1 à 2 fruits par bouquet, en choisissant le plus gros et le mieux formé.

   • Laissez un espacement d'environ 10 à 15 cm entre les fruits sur la branche.

   • Privilégiez les fruits situés sur le dessus ou le côté de la branche, bien exposés à la lumière.

   • Retirez les fruits abîmés, mal formés ou ceux qui se touchent (pour éviter la propagation des maladies).

2. Pêchers, Nectariniers, Abricotiers, Pruniers :

   • Ces arbres produisent des fruits le long des rameaux.

   • Laissez un fruit tous les 8 à 15 cm, selon la vigueur de la variété et la taille finale souhaitée.

   • Retirez les fruits les plus petits, ceux qui sont mal positionnés ou ceux qui se touchent.

3. Cerisiers :

   • L'éclaircissage des cerises est rarement pratiqué manuellement car elles sont généralement moins sujettes à la surcharge et leur petite taille rend l'opération fastidieuse. L'arbre gère souvent bien sa charge.

• Le geste :

• Utilisez des ciseaux à bouts fins ou vos doigts.

• Coupez la tige du fruit que vous retirez, sans abîmer la branche ni les fruits voisins.

• Soyez méthodique et régulier sur l'ensemble de l'arbre.

• Autres stratégies complémentaires

Bien que l'éclaircissage manuel soit la méthode la plus directe, d'autres pratiques contribuent à gérer la charge fruitière :

• La taille de fructification : Une taille bien menée permet de réguler le nombre de bourgeons floraux et donc le potentiel de production. Une taille appropriée élimine le bois improductif et favorise la formation de bois à fruits.

• La fertilisation équilibrée : Évitez les excès d'azote qui favorisent le bois et le feuillage au détriment des fleurs et des fruits. Privilégiez les apports de potassium et de phosphore qui soutiennent la floraison et la fructification.

• L'arrosage adéquat : Un stress hydrique pendant la nouaison (phase initiale de formation du fruit) peut provoquer une chute excessive. Un arrosage régulier et suffisant (mais sans excès) aide l'arbre à maintenir sa charge.

• La vigueur de l'arbre : Un arbre en bonne santé, bien nourri et bien entretenu, est plus apte à gérer sa production et moins sujet à l'alternance.

• Le tuteurage des arbres fruitiers en surproduction

En complément de l'éclaircissage, le tuteurage est une pratique essentielle, surtout pour les jeunes arbres ou ceux qui, malgré l'éclaircissage, portent une charge de fruits importante. Il vise à soutenir les branches pour éviter leur rupture sous le poids des fruits et à maintenir une bonne structure de l'arbre.

• Pourquoi tuteurer en cas de surproduction ?

Même avec un éclaircissage minutieux, certaines branches peuvent encore être soumises à une tension considérable. Le tuteurage offre plusieurs avantages :

• Prévention des casses : C'est la raison principale. Le poids des fruits, surtout après une pluie ou un coup de vent, peut faire plier et casser des branches entières, causant des blessures graves à l'arbre qui peuvent compromettre sa santé et sa production future.

• Maintien de la forme de l'arbre : Le tuteurage aide à conserver une charpente équilibrée et ouverte, essentielle pour une bonne pénétration de la lumière et de l'air, réduisant ainsi les risques de maladies.

• Amélioration de la qualité des fruits : En évitant que les branches ne s'affaissent, les fruits restent mieux exposés au soleil, favorisant une meilleure coloration et une maturation uniforme. Ils sont également moins susceptibles de toucher le sol, ce qui réduit les risques de pourriture ou d'attaques de ravageurs.

• Facilite la récolte : Des branches bien soutenues rendent l'accès aux fruits plus facile et plus sûr.

• Comment tuteurer ?

Le tuteurage doit être effectué avec soin pour ne pas blesser l'arbre.

1. Matériel :

   • Tuteurs : Des piquets solides en bois, des branches d'arbres assez longues munis d'un U à l'extrémité, des bambous ou des tiges de métal en protégeant l'appui sur les branches. Leur hauteur doit être suffisante pour soutenir la branche sans gêner la croissance.

   • Liens : Utilisez des liens souples et larges (bandes de tissu, liens en caoutchouc, liens spécifiques pour arbres) qui ne blesseront pas l'écorce de l'arbre à mesure qu'il grossit. Évitez les fils de fer ou les cordes fines qui peuvent cisailler la branche.

2. Technique :

   • Soutien individuel des branches : Pour les branches les plus chargées et les plus à risque, plantez un tuteur verticalement sous la branche, en veillant à ce qu'il soit bien stable dans le sol. Attachez la branche au tuteur avec un lien souple, en formant un "huit" pour éviter le frottement direct du lien contre l'écorce.

   • Soutien transversal (pour les jeunes arbres ou formes palissées) : Pour les arbres formés sur des espaliers ou des palmettes, des fils tendus ou des structures permanentes peuvent servir de support. Pour les jeunes arbres, un tuteur unique planté à la plantation peut suffire à soutenir le tronc principal.

   • Éviter l'étranglement : Vérifiez régulièrement les liens et desserrez-les si nécessaire pour ne pas étrangler la branche à mesure qu'elle grossit.

• Quand tuteurer ?

Le tuteurage est généralement mis en place dès que l'on observe une surcharge de fruits et que les branches commencent à ployer sous le poids. Il peut être temporaire, le temps que les fruits mûrissent et soient récoltés, ou permanent pour les arbres conduits sur des formes spécifiques.

• En conclusion

Protéger vos arbres fruitiers de la surcharge n'est pas une tâche punitive, mais un acte de soin essentiel. L'éclaircissage manuel, bien que demandant du temps, est un investissement qui sera largement récompensé par des fruits plus gros, plus savoureux, et par la longévité et la régularité de production de vos arbres. En complément, le tuteurage est une assurance précieuse contre les dommages physiques, garantissant que vos arbres puissent porter leur précieuse charge jusqu'à maturité. En adoptant ces pratiques, vous transformerez une abondance potentiellement problématique en une récolte de qualité supérieure, année après année.

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Agir contre le frelon asiatique

Reine passant l'hiver dans un vieux bois

C’est le moment d’agir contre le frelon asiatique, cela permettra d’aider les abeilles et la biodiversité en piégeant les reines des frelons asiatiques. En effet, elles sortent des abris où elles ont passé l’hiver. Elles commencent à tourner pour rechercher un endroit où faire leur nid.

• Quels dangers pour votre jardin :

• Les abeilles :

Les abeilles ont un rôle primordial pour le jardin, elles sont un des principaux pollinisateurs. Ce sont elles qui en butinant les fleurs de nos jardins, permettent une production de fruits et légumes importantes. Elles nous procurent également un sentiment de bien être quand elles bourdonnent dans les arbres en fleurs.

Pourtant, elles sont un des délices préférés des frelons asiatiques.

• Les autres insectes du jardin :

Plusieurs autres insectes de nos jardins sont aussi la proie des frelons asiatiques, tel que les papillons , les guêpes et les mouches.
L’homme également.
Le jardinier et tous les visiteurs du jardin sont potentiellement en danger aussi. À l’approche de leur nid, les frelons deviennent agressif et peuvent piquer, et leurs piqûres peuvent être mortelles.
Donc toutes reines piégées au tout début du printemps sont autant de nids en moins.

• Agir contre le frelon asiatique en posant des pièges :

• La fabrication du piège :

Pour la réalisation, voici ce dont vous aurez besoin :
 

• une bouteille en plastique pas trop transparente avec son bouchon ( cela prolonge la durée d’efficacité du piège)
• un forêt de diamètre 8 avec une perceuse
• 20 cm de ficelle (type ficelle à botte de paille)
• un verre de 100 ml de contenance
• du vin blanc (celui-ci empêche les abeilles d’être prise dans le piège : effet répulsif)
• de la bière
• un sirop de fruits sucré ( ex. Grenadine)

• La préparation du piège :

1. Percez 3 trous avec le forêt de diamètre 8, comme sur la photo ci-dessous. (Trou percé au début du rétrécissement de la bouteille).

2. Dosez tour à tour le vin blanc, la bière et le sirop et versez chacun d’entre eux dans la bouteille.
3. Faites un petit trou dans le bouchon de la bouteille de la grosseur de la ficelle que vous avez.
4. Passez la ficelle dans le bouchon et faites un noeud pour ne pas que celui-ci passe à travers.

           Le piège monté avec la ficelle sur le bouchon

• La pose du piège :

Il ne reste plus qu’à poser le piège, personnellement, j’ai accroché les miens dans les arbres .
La pose de pièges permet d'agir contre le frelon asiatique.

                           Piège à frelons accroché dans un arbre.

Dans quelques semaines, il sera à vider, et peut être même renouvelé.
 

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Les petits conifères au jardin

Les petits conifères apportent une multitude d'avantages à un jardin, tant sur le plan esthétique que pratique. Voici quelques-uns de leurs principaux atouts :

• Structure et esthétique :

• Structure permanente : Les conifères nains apportent une structure verticale et une forme définie au jardin, même en hiver, lorsque les autres plantes ont perdu leurs feuilles. Ils créent des points focaux intéressants et structurent l'espace.
• Variété de formes et de couleurs : Il existe une grande diversité de conifères nains, offrant une large gamme de formes (boules, cônes, colonnes) et de couleurs (vert, bleu, doré). Cela permet de créer des compositions variées et harmonieuses.
• Intérêt toute l'année : Leur feuillage persistant garantit une présence constante de verdure et de couleur, même pendant les mois les plus froids.

• Les fonctionnalités pratiques :

• Écrans visuels et brise-vent : Certains conifères nains, lorsqu'ils sont plantés en haie, peuvent servir d'écrans visuels pour préserver l'intimité ou de brise-vent pour protéger les autres plantes.
• Facilité d'entretien : Les conifères nains sont généralement peu exigeants en entretien. Ils nécessitent peu de taille et sont résistants aux maladies et aux ravageurs.
• Adaptabilité : Ils s'adaptent à différents types de sols et d'expositions, ce qui les rend adaptés à de nombreux jardins.
• Habitat pour la faune : Les conifères offrent un abri et une source de nourriture pour les oiseaux et autres animaux sauvages.

• Des utilisations spécifiques :

• Rocaille : Les conifères nains sont parfaits pour les rocailles, où ils apportent une touche de verdure et de structure.
• Bordures et massifs : Ils peuvent être utilisés pour créer des bordures nettes ou pour structurer les massifs de fleurs.
• Jardins japonais : Leur forme et leur texture s'intègrent parfaitement dans les jardins japonais, où ils symbolisent la longévité et la stabilité.
• Terrasses et balcons : Les conifères nains peuvent être cultivés en pots, ce qui permet de profiter de leurs avantages même dans les espaces restreints.

En résumé, les petits conifères sont des atouts précieux pour tout jardin. Ils apportent une touche esthétique durable, offrent des fonctionnalités pratiques et s'adaptent à de nombreuses utilisations.

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Préserver la faune et la flore

Afin de préserver la faune et la flore de nos jardins, il nous est recommandé de ne pas tailler les haies de nos jardins du 15 mars au 31 juillet.

C’est la période où les oiseaux vont se reproduire dans nos jardins. Les haies font partie des lieux privilégiés de la gente ailée pour faire leur nid. Les insectes les trouvent également très utiles pour s’abriter, se nourrir et également se reproduire.

Pour beaucoup d’arbustes de nos haies, c’est également la période de floraison. Les abeilles y trouvent une partie du nectar dont elles ont besoin pour faire le miel.
une haie fleurie aide à préserver la faune et la flore de votre jardin.

En résumé, en taillant vos haies du 1er août au 14 mars, préserver la faune et la flore de votre jardin.
 

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Choisir le bon rosier pour votre balcon

Le choix d'un rosier pour un pot sur votre balcon dépendra de plusieurs facteurs: l'espace disponible, l'exposition au soleil, le climat et bien sûr, vos préférences personnelles en termes de couleur et de parfum.

• Critères de sélection :

• Taille compacte : Privilégiez les rosiers buissons, les rosiers miniatures ou les rosiers paysagers à port compact. Ils s'adapteront mieux à la culture en pot.
• Enracinement limité : Les rosiers greffés sur Rosa multiflora sont particulièrement adaptés à la culture en pot, car leur système racinaire est moins développé.
• Floraison remontante : Pour profiter de fleurs tout au long de la saison, optez pour des variétés à floraison remontante.
• Résistance : Choisissez des rosiers résistants aux maladies et aux parasites, pour limiter les traitements.

• Variétés recommandées :

• Rosiers buissons : 'The Fairy', 'Pink Drift', 'Sweet Juliet' sont de bons exemples de rosiers buissons compacts et florifères.
• Rosiers miniatures : Ils sont parfaits pour les petits espaces. 'Baby Masquerade', 'Lavender Jewel' sont des variétés populaires.
• Rosiers paysagers : Certaines variétés comme 'Knock Out' ou 'Flower Carpet' sont très résistantes et à floraison abondante.
• Rosiers Drift : Spécialement conçus pour la culture en pot, ils offrent une floraison généreuse et un port compact.

• Conseils pour la culture en pot :

• Le pot : Choisissez un pot suffisamment grand (au moins 40 cm de profondeur) pour permettre aux racines de se développer. Privilégiez les pots en terre cuite qui permettent une meilleure respiration des racines.
• Le substrat : Utilisez un substrat de qualité, riche et bien drainé.
• L'emplacement : Choisissez un endroit ensoleillé, mais protégé des vents forts.
• L'arrosage : Arrosez régulièrement, surtout en période de chaleur.
• La fertilisation : Apportez un engrais spécial rosiers au printemps et en été.
• La taille : Taillez régulièrement pour maintenir une forme compacte et favoriser la floraison.

• Quelques exemples de rosiers adaptés aux balcons :

Voici quelques exemples de rosiers particulièrement adaptés à la culture en pot sur un balcon, avec des images pour vous aider à visualiser :

• Rosiers buissons compacts :

•  'The Fairy' : Ce rosier couvre-sol aux petites fleurs roses claires est idéal pour les pots. Ses longues tiges retombantes créent un effet cascade très élégant.

• 'Pink Drift' :  Ce rosier offre une floraison abondante de petites roses roses tout au long de la saison. Son port compact en fait un excellent choix pour les balcons.

• 'Sweet Juliet' : Ce rosier anglais moderne séduit par ses grandes fleurs doubles et son parfum intense. Il existe également des versions miniatures plus adaptées aux pots.

• Rosiers miniatures :

• 'Baby Masquerade' : Ce rosier miniature offre une palette de couleurs allant du rose au jaune, avec des fleurs doubles très charmantes.

• 'Lavender Jewel' : Ce rosier miniature produit de petites fleurs doubles d'un violet intense, très originales.

• Rosiers paysagers :

• 'Knock Out' : Très résistant et florifère, ce rosier offre une longue floraison de roses simples. Il existe de nombreuses couleurs disponibles.

• Conseils supplémentaires :

• Rosiers Drift : Spécialement conçus pour la culture en pot, ils offrent une floraison généreuse et un port compact.
• Rosiers sur tige : Bien que moins adaptés aux petits espaces, certains rosiers sur tige peuvent trouver leur place sur un balcon spacieux. Ils apportent une touche d'élégance et de verticalité.

Pour un choix optimal, n'hésitez pas à demander conseil à votre pépiniériste. Il pourra vous orienter vers les variétés les mieux adaptées à votre climat et à l'exposition de votre balcon.

Autres éléments à prendre en compte lors du choix de votre rosier :

• La couleur  des fleurs: Choisissez des couleurs qui s'harmonisent avec le décor de votre balcon.
• Le parfum : Si vous aimez les senteurs, optez pour des variétés parfumées.
• La période de floraison : Certains rosiers fleurissent plus tôt que d'autres.

• En résumé

Cultiver des rosiers en pot sur un balcon est tout à fait possible à condition de choisir les bonnes variétés et de leur apporter les soins nécessaires. Avec un peu d'attention, vous pourrez profiter de magnifiques roses tout l'été.

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